Voilà ce que certains ont choisi pour nous depuis très longtemps : nous maintenir dans la peur exacerbée, dans un sentiment de survie, pour que l’on ne puisse pas voir nos immenses facultés.
À l’aube de la venue de ce que l’on appelle la 5e dimension, nous participons tous au grand changement évolutionnaire, même si nous n’avons pas trop conscience de tout ce que cela comporte.
Il est aisé de voir toutes les manipulations, les fausses et les vraies vérités qui font surface, les informations se mélangent nous laissant perplexes et confus.
L’avantage de tout cela, c’est de nous ramener à nous-mêmes afin d’explorer nos propres vérités pour prendre position aussi bien en communauté qu’à titre individuel.
Changer sa vision limitée nous permet de lâcher prise de notre attachement à la matière, de ce que l’on voit à l’extérieur de nous, elle nous rapproche de la liberté de pensée.
Elle nous fait poser les bonnes questions, telles que :
- De quoi ai-je vraiment envie ?
- Comment je vois mon avenir idéal ?
- Quelles seraient mes émotions si je vivais dans ce monde idéal ?
- Suis-je en vérité dans ma vie face à mes aspirations personnelles et en lien avec autrui ? etc.
Ne plus s’identifier à la matière nous permet de sortir du chaos et d’élever nos fréquences.
Ce que l’on fait de nos émotions nous appartient, nos émotions ne sont plus tributaires des circonstances extérieures car nous avons le pouvoir de voir au-delà des apparences, et de choisir notre état d’être.
La vérité est une étape incontournable pour aller vers ce qui nous anime tous, la liberté intérieure qui mène ainsi à la paix et plus encore.
Chaque étape fait partie du grand changement évolutionnaire avec différents niveaux, des états à expérimenter en soi et parmi le monde.
En choisissant de ne plus faire confiance à ceux qui décident à notre place, nous reprenons notre gouvernance, notre libre arbitre qui est l’origine du fondement de la vie sur terre, nous pourrions alors casser les liens, les implants énergétiques que nous avons nous-mêmes participé à placer.
Et vous, vous êtes-vous posé ces questions ?
- Où est-ce que vous vous situez concernant votre propre vérité, les concepts de liberté et de paix ?
- Quelles sont les étapes que vous avez vraiment expérimentées ? Pas facile comme question.
Pour ma part, ce qui m’aide c’est d’avoir un regard observateur sur moi-même, sur le monde, de considérer les étapes franchies, car je sais que le changement passe par l’individu avant tout.
L’essentiel est d’être honnête avec soi, de mesurer l’adéquation avec nos intentions, de se laisser sincèrement toucher par
toutes les étapes de notre parcours, sans reporter la faute sur je ne sais quoi, ou je ne sais qui et d’envelopper ces prises de consciences de l’énergie ❤ d’amour.
Alors nous pouvons nous tourner vers nos intentions pour qu’elles deviennent nos guides afin de nous rapprocher d’un monde unifié et harmonieux ☯.
Affirmez en vous votre nouvelle position, choisissez de ne plus entretenir les habitudes qui alimentent irrésistiblement la peur, drogue inconsciente, pareille à une nourriture addictive, et toutes ces pensées qui maintiennent le programme de la peur, source de notre enfermement.
Prenons-nous en main, nous avons la possibilité de voir ce qui ce passe sans blâmer qui que ce soit et surtout pas nous-mêmes : par habitude nous allons chercher des responsables, des coupables et créons encore plus d’émotions de ressentiments, de révolte, d’injustice et autres.
Les pensées agissent sur nos émotions, elles émettent de puissantes fréquences magnétiques et gravitationnelles qui attirent ou repoussent dans notre vie des fréquences similaires, engendrant des situations, des rencontres, des attitudes et des comportements.. Il s’agit d’interactions quantiques.
Les pensées arrivent en premier et l’expérience vient toujours en second lieu.
La pensée fait naître des émotions qui créent notre futur, c’est ce qui a été longtemps caché.
Voilà pourquoi je reviens à notre responsabilité, celle de changer nos habitudes, nos comportements et d’être le plus possible lucide dans le présent, sans s’attacher à ce qui s’est déjà passé, ni se projeter sur l’avenir qui n’est pas encore là.
C’est l’observation de notre existence qui nous donne des informations précieuses de là où nous en sommes, face à nos choix et nos engagements. Puisque nous attirons ce à quoi l’on pense et croit, avec la force de nos émotions.
- Que désirez-vous vraiment, pour vous, pour autrui, pour la planète ?
Nous pouvons définir nos intentions premières et demander tout ce qui nous ferait plaisir de vivre, pourvu que ce à quoi nous aspirons soit pur et fasse sens pour la totalité.
Alors, cela nous donne le courage et la force pour être dans le présent, conscient et observateur de nous-mêmes afin que, contre vents et marées, cela devienne une ligne de conduite dans nos actes, nos choix constamment renouvelés.
La vie exprime toujours le reflet, le retour de ce que vous vibrez, peut-être pas comme vous l’entendez et au moment que vous avez décidé, mais votre demande et vos intentions prendront forme. Il n’y aura plus qu’à les vivre.
Devoir travailler beaucoup pour ce que vous désirez obtenir n’est pas forcément la juste attitude, le dur labeur est à oublier.
Il existe des mémoires encore bien actives concernant la possession de biens matériels qui va de pair avec l’argent.
Ces mémoires sont à la fois un piège et une chance.
Le piège, c’est que par habitude (ou pour se conformer à la norme) le besoin de posséder toujours plus et l’attachement à l’argent nous éloignent de notre but véritable, nous indiquent une mauvaise direction et nourrissent un perpétuel sentiment de manque.
La chance, c’est de considérer les biens matériels et l’abondance financière comme un don de l’univers, en tant qu’outils et moyens non indispensables, mais facilitants, pour réaliser nos véritables choix premiers.
Ainsi ce à quoi nous sommes invités, c’est d’équilibrer notre existence entre offrir et recevoir, en donnant autant que l’on reçoit.
Installons en nous des intentions élevées, cela est possible et facilité pour tous, avec les nouvelles fréquences qui nous accompagnent partout.
Voyez plutôt... Du côté des technologies actuelles, certes, il y a du bon, mais aussi du mauvais, leurs fréquences brouillent nos propres fréquences bénéfiques.
Il y a une boulimie générale pour les utilisations d’internet, des appareils connectés, de la télévision, des informations, des films, des jeux, des images, des couleurs, des lumières...
Tout se mélange et mène à des incohérences neuronales qui entretiennent des dérives et des addictions en tout genre, voulues par ceux qui choisissent pour nous.
Nous perdons notre propre boussole et devenons comme des enfants à qui on donne des occupations pour être tranquille. Notre mental est sollicité en permanence, dans le toujours faire ou remplir. La sensation de manque devient de plus en plus grande, même entouré et connecté, la solitude est présente, l’on ne voit plus très bien ce qui nous anime vraiment, les temps où l’on se pose pour goûter, entretenir, ressentir, créer de belles intentions et pensées deviennent très rares ou inexistants.
Il y a de nombreux outils et des technologies pour nous protéger des fréquences perturbatrices, je vous en parlerai sûrement, mais la meilleure façon reste celle d’entretenir notre fréquence élevée, pour créer un bouclier naturel autour de nous et en nous.
Avec un état de présence, nous pouvons discerner ce que nous vivons à chaque instant, alors posons-nous ces questions pendant les moments d’expériences :
- « Est-ce que ce que je vis est en rapport avec mes choix ? »
- « Comment puis-je accorder mes émotions à mes pensées et à mes intentions élevées ? »
- « Quelles sont les indications sur ce que cela m’apporte, puisque ce que je vis je l’ai créé ? »
Avec cette attitude, nous donnons peu à peu du sens à la vie qui devient plus joyeuse, parce que à ce moment-là vous vous offrez et vous offrez à la totalité, car votre choix à titre individuel devient disponible pour d’autres qui vivent ou vivront les mêmes émotions et expériences. Cela nous éloigne aussi de la matrice collective.
Nous nous rapprochons de notre Âme et de son expression, c’est alors que nous nous sentons faire partie du tout, là où il ne manque rien, où tout est à sa place dans l’équilibre universel.
Arrêtons d’entretenir les informations de peur, les pertes de repères avec les abus d’internet, de télé, de film, de jeux, des médias..
Choisissons en conscience si cela apporte quelque chose à nos choix premiers.
Il y a des années de cela, je me souviens de la réaction de certains, lorsque l’on annonçait que nous n’avions pas la télé.
« Ah bon !! tu n’as pas la télé, mais comment tu fais ?»
« Comment je fais pour quoi ? »
« Ben pour te tenir informé ? »
Avec mon amie on s’amusait entre nous à deviner si les personnes que l’on rencontrait avaient la télé ou pas, pas pour se moquer, mais pour aiguiser nos sens et bien, cela nous étonnait toujours de voir combien c’était tellement facile, c’était évident pour nous qu’il y a une réelle différence.
Aujourd’hui je ne fais plus cela et je suis toujours convaincu que cela m’apporte beaucoup de ne pas avoir la télé. Chacun voit pour lui bien sûr, cependant, la télé reste un moyen de manipulation en tous genres.
Nous regardons nous-mêmes des films, mais nous devenons de plus en plus difficiles car, nous cherchons le film qui nous permet de vivre de beaux sentiments et de belles émotions ou nous ouvre de nouveaux horizons. Or il y a de plus en plus de violence, de peur, de situations de désespoir, bref une « nourriture » qui ne nous convient pas.
Avant de dormir c’est important que nos émotions soient le plus possible en lien avec ce que nous voulons vivre dans notre vie car elles se prolongent dans notre sommeil. Il n’y a qu’à voir la différence à travers les sensations présentes dans la nuit et au moment du réveil.
La peur n’est pas à bannir, elle est juste une indication, pas plus. La balayer sous le tapis équivaut à s’entraver un jour où on ne s’y attend pas. Alors la peur se répand partout, nous submerge et l’on craque ou on explose, selon.
Je vous raconte une expérience marquante avec la peur que j’ai eu dans mon enfance.
Au collège, je rentrais des cours pour rejoindre mes grands-parents qui avaient une épicerie et une brûlerie de café au centre-ville de Cahors. A chaque fois, je traversais un petit supermarché qui s’appelait Prisunic.
Je rentrais d’un côté et ressortais de l’autre, c’était plus sympa que de passer dans la rue et surtout beaucoup plus court, et bien plus intéressant avec des étals de jouets parfois. Et un jour...
Wouah !!... Je vois plein de balles multicolores dans un étalage, semblable à un trésor, toutes aussi belles les unes que les autres, transparentes avec à l’intérieur des rubans de couleurs magnifiques tressés ensemble. Je les ai tout de suite reconnues, elles sont incroyables, elles rebondissent partout dans tous les sens.
Mais une balle valait 5 francs et là c’était beaucoup trop cher, vu le peu d’argent de poche que j’avais. Je pouvais attendre longtemps, longtemps et pas question de casser ma tirelire, ce cochon que j’adorais. Impossible non plus de refaire passer une pièce dans la fente pour l’en sortir.
Alors pour la première fois de ma vie, malgré ma grande timidité, l’idée me vint de la chiper… J’étais terrifié, je me voyais déjà pris en flagrant délit par le vigile, convoquant mes parents au commissariat.
Je pris mon courage à deux mains et tel Arsène Lupin, tous les jours à la même heure j’espionnais les faits et gestes du vigile, les heures et les différents secteurs où il se plaçait, je vérifiais qu’il n’y avait pas de caméra et tout ce qui était intéressant à savoir.
Et le soir venu, je notais ces précieuses indications dans un carnet.
J’avais découvert qu’un jour par semaine, le vigile était absent.
Il me faisait très peur, car il était très gros et grand. Un jour j’ai cru qu’il me surveillait, j’avais dû me faire remarquer dans le magasin à inspecter partout.
Le jour J , j’avais une trouille ! … Tout était prêt comme Arsène Lupin pour le casse du siècle. Et tout se déroula comme prévu, sans aucune difficulté. J’étais si fier d’avoir réussi mon coup malgré la peur.
Une fois à la maison, comme tous les soirs de la semaine, j’allais jouer après manger avec mon frère. Nous aimions passer du temps dans le grand couloir, chacun à son poste, à chaque extrémité pour nous lancer des petites voitures, des billes ou des Legos ..
Fier d’avoir un nouveau jouet insolite, je lui lance la balle magique, pour le surprendre, celle-ci se met à rebondir partout sur les portes et fait un vacarme incroyable.
Mon frère me demande alors :
- « Où tu l'as eue ? »
Je lui réponds en balbutiant, car j’avais horreur de mentir :
- « C’est ... C’est un copain qui me l’a prêtée... »
- « A ouais ? Et qui ça ? »
- « Euh ... Tu ne le connais pas ! »
Une peur panique m’envahit tout d’un coup, et si avec le bruit assourdissant que fait la balle, ma mère ouvre la porte et me pose la même question ? Alors là …. Je veux bien mentir à mon frère, mais à ma mère, ah ça non !! Je n’ai pas envie de vivre cela.
Alors je pris la balle. et dit à mon frère :
- « J’avais oublié, j’ai des devoirs ce soir »
-
« tu me la laisses la balle, je te la rendrais », répondit-il.
- « Non, j’ai promis à mon ami de ne pas la prêter »
Il a beaucoup insisté et je ne savais pas comment faire. Je voulais éviter à tout prix que cela tourne mal entre nous et que ma mère ouvre brusquement la porte de la cuisine pour voir ce qui se passe.
J’ai arrêté toutes discussions avant de regagner ma chambre, en maintenant la poignée levée et en collant mon oreille sur la porte, pour savoir si mon frère irait se plaindre à notre mère.
Ouf …. Après l’avoir entendu marmonner, il partit dans sa chambre en claquant la porte.
Le lendemain après manger, j’attendais que mon frère soit dans sa chambre, pour jouer tout seul, avec la balle sans la faire rebondir. Mais j’avais perdu l’enthousiasme.
Je pris conscience que cette balle était source de problèmes, je ne pouvais même pas jouer librement, en plus je culpabilisais de l’avoir volée. Finalement, cette balle ne m’attirait que des ennuis.
Alors à nouveau, une idée me vint qui me fit froid dans le dos, « et si je la remettais à sa place dans l’étal du Prisunic ? »
Je me voyais pris au piège voulant faire pourtant une bonne action, et me faire prendre injustement par le vigile, faire la une du petit journal hebdomadaire.
Qui voudra croire un enfant qui ramène une balle par culpabilité ?
Alors je repris ma surveillance. C’était devenu plus difficile, j’avais vraiment la sensation qu’en fait, avec le vigile on se surveillait mutuellement.
Je parvins quand même à remettre la balle à sa place.
Lorsque cela fut fait, je ressenti enfin un énorme soulagement.
Je peux encore aujourd'hui éprouver l’intensité de cette émotion.
Cette expérience fut pour moi une très grande leçon de vie et je sais aujourd’hui que la peur dans certaines conditions peut être source de bienfaits et me faire grandir.
De nombreuses possibilités s’offrent à nous que nous pouvons mettre en place dans notre vie pour changer les habitudes et sortir des peurs exacerbées.
Différentes pratiques, des méditations, des lectures pour mieux nous comprendre, la danse, la musique, des jeux de société, des enseignements, des ateliers, des activités, des promenades.. Soyons créatif dans ce qui nous amène à changer et à sortir de nos habitudes.
Je parle beaucoup de changement et peut-être que cela ne fait pas sens ou crée quelques peurs. Cela demande de sortir de quelques concepts qui nous semblent sécurisants et séduisants.
Aller chercher dans notre profondeur des choses que nous avons mises de côté,
cela demande en toute humilité de voir notre vérité, et réclame un certain courage :
- Après avoir vu notre vérité, peut-on continuer à faire comme si de rien n’était ?
- Peut-on se mentir à soi-même et être complaisant face à notre choix de créer une nouvelle réalité ?
Si nous restons avec nos habitudes, il n’y a que trop peu d’espace pour le nouveau. A l’image d’un verre d’eau qu’on ne boit pas de peur de manquer d’eau, si nous attendons que l’eau s’évapore pour refaire le niveau, nous risquons d’attendre longtemps avant de pouvoir renouveler l’eau.
Trouvons comment nous pouvons développer de nouveaux sens qui ne s’arrêtent plus aux 4 sens principaux. Développons les accès à de nouvelles vibrations, de nouvelles dimensions, aux énergies qui nous accompagnent. Trouvons et expérimentons ce qui nous va le mieux, les possibilités sont nombreuses.
Cela ne veut pas dire faire l’autruche vis-à-vis de ce qui se passe autour de nous et de rester figés sur nos façons de voir. Chacun a une place qui lui est propre et trouvera sa place, afin d’exprimer ces aptitudes et ses dons et d’apporter sa touche personnelle au nouveau Monde.
Il existe une construction, un emboîtement naturel et parfait qui prend forme, soyez-en assurés.
Luc H
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